Looooogooooo textes - il le faut

 

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Réveil

J'étais une histoire sans un pays et toi, un pays sans histoire
L'un et l'autre gardions le silence
Mais, c'est le silence qui nous gardait : l'un dans l'autre. Chuuuutt....

This is the story of a man who forgot, who wanted to forget
This is the story of a woman who forgot to not hope anymore
And this night a light point appeared under the skies
They went together to see the lightning
Closing the apartment door, X smiled, he was thinking about Y
He knew he was the only boy in this world and she, the only girl

Le passé est mort si la mort est passée
A naitre encore notre avenir se cache... dedans
D'après le rève que j'ai fait.

C'est rien, c'est pas bien grave
Le fauteuil
Quand elles se sont levées, le matin
J'ai mal partout, je m'tenais les côtes, le dos

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Matin

C'est au matin qu'on ressent les absences
Et qu'on entend le silence
Au matin où je me lève sans courage, un crève coeur mon lendemain
J'ai beau t'oublier, première heure, première douleur
C'est au matin où je ressens ton absence, et où j'écoute le silence
Coté gauche ou droit du lit, défait,
Triste diagonale solitaire
J'ai beau t'oublier, première heure, première douleur

C'est au matin, au matin, au matin
C'est au matin, au matin, au matin
C'est au matin, au matin, au matin
Où je ressens ton silence,
Où je paie ton absence

Je les aimais toutes les trois d'un amour immense
Je me disais ça le matin au reveil,
Le matin sous la douche, le matin face à mon café...
A tout moment de la journée.
Je n'en souffrais pas : cette indécision me rendait vivant et... généreux.

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Marcher

Avec la bénédiction du ciel, me chient dessus les hirondelles
Ça m'apprendra à lever le nez sans savoir où je mets les pieds
Avec la bénédiction du ciel, me chient dessus les hirondelles
Ça m'apprendra à lever le nez sans savoir où je mets les pieds
La terre s'ouvre à grand fracas
Et le coeur le sonne comme le glas
Avant de faire ouf!, c'est patatras !

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Souvenir

Ne t'éloigne pas de moi
J'ai froid, ne t'éloigne pas de moi
J'ai froid, ne t'éloigne pas de moi
La parenthèse du souvenir
Les mots du père de mon père
...
La lutte du père de mon père
J'ai froid, ne t'éloigne pas de moi
Le courage de la mère de ma mère
J'ai froid, ne t'éloigne pas de moi
La parenthèse du souvenir
Aujourd'hui l'obscur ronge la lumière
J'ai froid
J'ai froid, ne t'éloigne pas de moi

Au prochain top, il sera zéro heure; zéro minute, zéro seconde

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Mensonge

Evidemment qu'on en est là
Vu qu'on s'écoute sans s'entendre
Et qu'on s'regarde sans se voir
Et vide dedans, c'est évident
Interminence du palpitant
Branle bas de combat dessous les draps
Et si l'interdit mari
Antidote des poisons au creux de l'insomnie
Jamais rien ne dissocie la somme des vraisemblances
Qui sans cesse me relancent
Car je ne suis qu'un mensonge qui dit toujours, toujours la vérité
Promesse non tenue, vérité toute nue
Car je ne suis qu'un mensonge qui dit toujours la vérité
Promesse non tenue, vérité toute nue
La vie d'avant, quelle rage de dents !
Parole donnée, un jour juré, l'autre, prisonnier
La vie devant, elle grince dedant
On n'est plus frère de la lumière
C'est Pierre-Auguste qui avait tout juste
Et si l'interdit mari
Antidote des poisons au creux de l'insomnie
Jamais rien ne dissocie la somme des vraisemblances
Qui sans cesse me relancent
Car je ne suis qu'un mensonge qui dit toujours, toujours la vérité
.....
Alors comprends ma chérie
Que t'en dire plus, je ne puis
Car prisonnier de moi, je suis

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Taxi

Prouve moi que t'es un homme, arrète ce taxi
Je ne suis qu'un homme

Il est jaune votre taxi
C'est une Simca
Y'a de la musique dans vot' taxi, Monsieur ?
Oui, monsieur
D'la musique dans vot' bastringue

Tiens, je suis heureuse

Alors allez-y mon vieux...
Je vous dirais "stop", roulez, roulez
Difficile de chercher, hein ?
Pourtant c'est facile, facile d'avoir trouvé
Mais... c'est si difficile

Exit d'un état critique
Je lutte héroïque
En duel idéologique
Because t'a pris la fuite
Une suite des moins logique
Si je pense à nos répliques
J'étais ton grand squelettique
Tu trouvais ça, fantastique
Ta dose neuroleptique
Aie ! J'aurais du sentir le hic !
Une horizontale anatomique,
Complicité ultra physique,
Une verticale atomique,
Electricité statique
Une suite Hotel Majestic
Baise de broc, juste pour une brique

Je suis heureuse, les lumières de la ville sont belles

Etait-ce Fred ou Eric, le grand déclic
Résultat : tireur d'élite, boulevard des Amériques
Ses cervicales qui se splittent, sur les ailes de ma Buick
Mon héroïne sur orbite
Sorry my little Amérique
Une fin des moins logiques
Vu que t'étais mon union soviét...

Stop la-bas mon vieux, oui, la-bas, à coté du rève américain... le rève américain

C'est cher

Eh oui, quand on veut se payer un plus dans notre époque épique
On se monte en taxe, le luxe de notre époque
Si c'est pas malheureux, mal heureux

Mais, j'étais heureuse dans le taxi

Prouve moi que t'es une femme, arrète le compteur

Qu'est-ce que tu fais ? Où tu vas ?

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Conversation

Trique-trac

J'ai la trique et le trac
Le désir me détraque
Je me sens tout patraque

J'ai la trique et le trac
Le désir me détraque
Je me sens tout patraque
Le plaisir me rattrape
Et si ce n'était qu'une petite conne de plus
Qui encore s'étonne,
Comme ça qu'un homme, ça fonctionne
Pas forcément ric-rac
Décalé-didaque
Tout à trac

J'ai la trique et le trac
Le désir me détraque
Je me sens tout patraque
Le plaisir me rattrape

On peut jouer aux filles
Comme on s'amuse aux billes
C'est un jeu dangereux
Quand elles ont les yeux bleus, bleus, bleus....
Bleus, bleus, bleus, bleus....
Les garçons perdus font les âmes fragiles
Les filles trouvées, beaucoup trop faciles
Garçons perdus font les âmes fragiles
Les filles trouvées sont beaucoup trop faciles

J'ai la trique et le trac
Le désir me détraque
Je me sens tout patraque
Le plaisir me rattrape
Et si ce n'était qu'une petite conne de plus
Qui encore s'étonne,
Comme ça qu'un homme, ça fonctionne
Pas forcément ric-rac
Décalé-didaque
Tout à trac

J'ai le trac. Amour fou, amour clown
Amour clown, je détale
Mais va-t en là-bas voir si tu me trouves 
Et si je suis pas des fois
Encore à corps à corps
En corps à corps avec....Moi.

........................................................

Adjectif, affectif, emotif, effectif adjectif,
Tu me quittes, je te quitte
Adjectif, affectif, emotif, adjectif,
Tu me quittes, je te quitte
Tu me laisses en kit
On se quitte
Je te laisse en kit

Je te quitte, j'suis pas quitte
Je te laisse en kit
L'enfer, c'est plus sur, l'éden est trop mal coté

Je vais quand même pas pleurer
Ça ferait trop désordre au nez

Ta bouche qui saigne est un coup d'arquebuse
La vie, cette interminable facture
Me ruine et me défait
Pour finir, zéro pointé
La mort, l'interminable fracture
M'achève à jamais
Avant de disperser aux quatre vents éparpillé
Mon compte plus ou moins bien soldé

Car la nuit où j'ai vu le jour
J'ai cessé de croire alors
Et la nuit où j'ai dit toujours
J'ai cessé de croire alors
A la nuit où j'ai vu le jour
J'ai cessé de croire alors

J'ai ravagé ton coeur
J'ai dévasté ton lit
J'y ai semé des grains de paradis
Mais perdu, éperdu, dans la mélancolie noire
Je passe à côté de toi

L'enfer, c'est plus sûr
L'éden est mal coté

Car la nuit où j'ai vu le jour
J'ai cessé de croire alors
Et la nuit où j'ai dit toujours
J'ai cessé de croire alors
A la nuit où j'ai vu lejour
J'ai cessé de croire alors

Première ligne, je m'aligne, la guerre est finie, la paix, vite signée

C'est marqué dans les films, même interpol, la police, il est strictement interdit.....

De film en anguille
Nos liaisons riment, s'effilochent
De blingue en médianoche
Vade retro sur le mode moche
Hier je t'aimais, aujourd'hui c'est fini
Tu as crevé l'abcès, j'ai tracé une croix

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